Rimouski in Rimouski-Neigette, Québec — Central Canada (French-Canadian)
Ancre de service de l'Empress of Ireland
Service anchor from the Empress of Ireland
Photographed By William Fischer, Jr., August 16, 2018
1. Ancre de service de l'Empress of Ireland Marker
Inscription.
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Cette ancre, de type amiral à jas mobile, fut prélevée de l'épave en 1993. D'un poids de six tonnes, e'était la plus petite du navire., This anchor, an Admiralty anchor with a movable stock, was recovered from the wreck in 1993. Weighing six tons, it was the smallest on the ship., Collection : Jacques St-Onge, Michel Tadros, . L'Empress of Ireland était muni de 4 ancres. L'une de celle-ci, située à l'arrière, était une ancre de service. Plus petite, elle servait rarement. On l'utilisait lorsqu'on devait s'ancrer dans un cour d'eau sujet aux marées afin d'empêcher le navire de tourner sur lui-même lorsque les courants de marée changeaient de direction. Les trois autres étaient installées à l'avant du navire. Deux étaient dans des écubiers (ouvertures ménagées à l'avant d'une navire) et reliées séparément à une chaîne et à un guindeau (treuil) à vapeur. L'une de ces ancres était utilisée à chaque fois que le paquebot devait s'ancrer. Une troisième ancre servait de réserve et était attachée sur l'avant. Ces trois ancres étaient de type Hall., En 1993 Michel Tadros et Jacques St-Onge équipent le navire Gesmer d'une chambre de décompression et engagent une quinzaine de plongeurs expérimentés. Leur but est de retrouver une cargaison de lingots de nickel qui aurait été chargée dans les cales du paquebot. En frayant leur chemin à travers les ponts, les plongeurs prélèvent plus de 250 madriers de teck et de nombreux objets dont l'ancre de service, une cloche et un bain-marie. Aucun lingot de nickel n'est trouvé. À l'été 2002, les propriétaires remettent au Musée de la mer une grande partie de ces artefacts., Le 15 avril 1999, le ministère de la Culture et des Communications du Québec classe l'épave en tant que bien historique et archéologique, confirmant ainsi la grande valeur symbolique et commémorative de la plus grande tragédie maritime de l'histoire du Canada. Le classement protège l'épave en interdisant toute intervention ou prélèvement sur le navire., [Légendes des photos, de gauche à droite, lisez] . L'Empress of Ireland vers 1908, . Ancre de service, . Robert Pelletier et Frank Sénécal sur le pont du Gesmer lors de l'expédition de 1993, . Ancre de type Hall prélevée de l'épave en 1965., . Le Gesmer ancré au dessus de l'épave de l'Empress of Ireland en 1993, . [La bouée n'a pas de légende]
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Cette ancre, de type amiral à jas mobile, fut prélevée de l'épave en 1993. D'un poids de six tonnes, e'était la plus petite du navire.
This anchor, an Admiralty anchor with a movable stock, was recovered from the wreck in 1993. Weighing six tons, it was the smallest on the ship.
Collection : Jacques St-Onge, Michel Tadros
L'Empress of Ireland était muni de 4 ancres. L'une de celle-ci, située à l'arrière, était une ancre de service. Plus petite, elle servait rarement. On l'utilisait lorsqu'on devait s'ancrer dans un cour d'eau sujet aux marées afin d'empêcher le navire de tourner sur lui-même lorsque les courants de marée changeaient de direction. Les trois autres étaient installées à l'avant du navire. Deux étaient dans des écubiers (ouvertures ménagées à l'avant d'une navire) et reliées séparément à une chaîne et à un guindeau (treuil) à vapeur. L'une de ces ancres était utilisée à chaque fois que le paquebot devait s'ancrer. Une troisième ancre servait de réserve et était attachée sur l'avant. Ces trois ancres étaient de type Hall.
En 1993 Michel
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Tadros et Jacques St-Onge équipent le navire Gesmer d'une chambre de décompression et engagent une quinzaine de plongeurs expérimentés. Leur but est de retrouver une cargaison de lingots de nickel qui aurait été chargée dans les cales du paquebot. En frayant leur chemin à travers les ponts, les plongeurs prélèvent plus de 250 madriers de teck et de nombreux objets dont l'ancre de service, une cloche et un bain-marie. Aucun lingot de nickel n'est trouvé. À l'été 2002, les propriétaires remettent au Musée de la mer une grande partie de ces artefacts.
Le 15 avril 1999, le ministère de la Culture et des Communications du Québec classe l'épave en tant que bien historique et archéologique, confirmant ainsi la grande valeur symbolique et commémorative de la plus grande tragédie maritime de l'histoire du Canada. Le classement protège l'épave en interdisant toute intervention ou prélèvement sur le navire.
[Légendes des photos, de gauche à droite, lisez]
• L'Empress of Ireland vers 1908
• Ancre de service
• Robert Pelletier et Frank Sénécal sur le pont du Gesmer lors de l'expédition de 1993
• Ancre de type Hall prélevée de l'épave en 1965.
• Le Gesmer ancré au dessus de l'épave de l'Empress of Ireland en 1993
• [La bouée n'a pas de légende]
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The
Photographed By William Fischer, Jr., August 16, 2018
2. Ancre de service de l'Empress of Ireland Marker
Empress of Ireland had four anchors. The one located on the ship's stern was the service anchor. Being smaller, it was used only rarely, when the ship was anchored in an area with tidal currents. The service anchor held the ship in position when the tidal currents changed direction. The other three anchors were located at the bow of the ship. Two passed through the hawseholes (the holes in a ship's bow through which cables pass) and were connected separately by chain to a steam-powered anchor winch. One of these was used each time the ocean liner was at anchor. A third anchor that served as a spare was attached on the ship's bow. These three anchors were Hall types.
In 1993, Michel Tadros and Jacques St-Onge equipped the ship Gesmer with a decompression chamber and hired 15 experienced divers. Their goal was to find the cargo of nickel ingots that were to have been loaded in the holds of the ocean liner. While making their way through the different deck levels, the divers brought back more than 250 teak beams and a number of objects, among which were the service anchor, a bell, and a double boiler. No nickel ingots were found. In the summer of 2002, the owners donated many of these artefacts [sic] to the Musée de la mer.
On April 15, 1999, Québec's ministère de la Culture et des Communications classified the wreck as a historical and archaeological
Photographed By William Fischer, Jr., August 16, 2018
3. Ancre de service de l'Empress of Ireland Service Anchor
treasure, thus confirming its great commemorative and symbolic value of the most important maritime tragedy in Canadian history. The protected status of the wreck forbids any modification of or collecting from the ship.
[Photo captions, from left to right, read]
• The Empress of Ireland circa 1908
• Service anchor
• Robert Pelletier and Frank Sénécal on the deck of the Gesmer during the 1993 expedition
• Hall anchor recovered from the wreck in 1965.
• The Gesmer at anchor above the wreck of the Empress of Ireland in 1993
• [Buoy photo has no caption]
Topics. This historical marker is listed in these topic lists: Disasters • Waterways & Vessels. A significant historical year for this entry is 1993.
Location. 48° 31.024′ N, 68° 28.113′ W. Marker is in Rimouski, Québec, in Rimouski-Neigette. Marker can be reached from Rue du Phare. Marker is adjacent to the Empress of Ireland Museum, at Pointe-au-Père Maritime Historical Site. Touch for map. Marker is at or near this postal address: 1000 Rue du Phare, Rimouski QC G5M 1L8, Canada. Touch for directions.
Additional keywords. Ancre de service de l'Empress of Ireland
Credits. This page was last revised on January 23, 2022. It was originally submitted on December 22, 2018, by William Fischer, Jr. of Scranton, Pennsylvania. This page has been viewed 324 times since then and 19 times this year. Photos:1, 2, 3. submitted on December 22, 2018, by William Fischer, Jr. of Scranton, Pennsylvania.
