Le Bateau-Lavoir

Le Bateau-Lavoir. Histoire de Paris. “Nous retournerons tous au Bateau-Lavoir, nous n’aurons vraiment été heureux que là...” Jusqu’à sa mort, Picasso (1881-1973) garde la nostalgie du Montmartre rural de sa jeunesse, avec ses fermes, se vergers et ses cabarets pittoresques. Arrivé sur la Butte à 19 ans, il prend ici en 1904 un atelier où il exécute les dernières oeuvres de la période bleue, celles de la période rose, inspirées par ses amours avec Fernande Olivier, et les “Demoiselles d’Avignon” (1907), prélude au cubisme. Alors plus connue sous le nom de “Maison du Trappeur”, l’ancienne manufacture de pianos, divisée en ateliers d’artistes vers 1889 et rebaptisée par Max Jacob, a vu ses vastes baraquements de bois, labyrinthe de coursives et d’escaliers, réduits en cendres lors d’un incendie, le 12 mai 1970., [Translated by Google Translate with modifications: , Le Bateau-Lavoir , "We will return all to the Bateau-Lavoir, we will not really be happy there ..." Until his death, Picasso (1881-1973) kept the nostalgia of his youth in rural Montmartre, with its farms, orchards and picturesque cabarets. Arrived on the hill at age 19, he took a workshop here in 1904 where he performed the last works of the Blue Period, those of the Rose Period inspired by his love affair with Fernande Olivier, and "Demoiselles d'Avignon" (1907 ), a prelude to cubism. While best known as the "House of the Hunter", the former piano factory, divided into artists' studios and renamed c.1889 by Max Jacob, saw its vast barracks, and wooden maze of corridors and stairs, reduced to ashes by a fire on 12 May 1970.]