Saint-Benoît le Bétourné

Saint-Benoît le Bétourné. Histoire de Paris. En 1431, maître Guillaume de Villon, répétiteur de droit canonique, devient chapelain de cette église aujourd’hui disparue, dont le choeur, orienté à l’ouest, justifie le surnom de «mal tournee» . Cette année-là naît François de Montcorbier: orphelin pauvre, entré à six ou sept ans un service du bon chapelain, le futur poète en garde le souvenir attendri d’un père adoptif, dont il rendra le nom célèbre. D’abord enfant de choeur, reçu bachelier à 18ans, et licencié es-arts en 1452, il passe ici le «temps de se jeunesse folle», plus attiré par les tavernes et les filles que par le vie scolastique. De rixes en chapardages, il doit s’exiler de la capitale, et sa trace se perd après 1463: Frères humains, qui après nous vivez, N’ayez le coeur contre nous endurci..., (English translation by Google Translate with modifications:) , St. Benedict Bétourné , In 1431, Master Guillaume de Villon, repeater of canon law, became chaplain of the church, now extinct, including the choir, which faced west, justifies the nickname "bad tour." That year Montcorbier, born Francis: poor orphan, who joined six or seven years of good service chaplain, the future poet remembers tenderly an adoptive father, he will make the name famous. First choirboy, received a bachelor of arts degree at 18 years old and in 1452, he spent here "a time of crazy youth," more interested in taverns and girls than by the scholastic life. After brawls and pilfering, he was forced into exile from the capital, and his traces are lost after 1463: "Brothers humans who live after us, do have a heart hardened against us