Merligueche

Merligueche. . English , This site known as the Old French Cemetery, is one of the few links to the Town’s Mi’kmaq and Acadian past. Known by the Mi’kmaq as Merligueche meaning whitecaps which topped the waves in the harbour, the name continued to be used by the French in the 17th and 18th centuries. Before the arrival of the French, the Mi’kmaq likely hunted food, fished and harvested wild berries in the area. The 1604 explorations of the south coast of what is now Nova Scotia by French explorers Sieur de Monts and Samuel de Champlain led to trading contacts with the Mi’kmaq and an interest in this land, rich in fish and furs. In 1632, Isaac de Razilly established Fort Sainte Marie-de-Grâce at the mouth of the LaHave River to trade with the Mi’kmaq. Nicholas Denys soon set ups a lumbering operation in the rich oak forests between LaHave and Merligueche. The 17th century struggle between France and England to control Acadia resulted in only sporadic attempts to settle the area around Meligueche, a centre of trade between the French and the Mi’kmaq., Between 1708 and 1748, the Acadian population of the area grew from two to 15 families trading with the Mi’kmaq for furs and berries and growing crops in the area know known as Garden Lots. In 1749, Colonel Edward Cornwallis wrote of Merlingueche: “The families… there have very comfortable wooden houses covered with bark, and good many Cattle and Sheep, and clear ground more than serves themselves.” By 1753, only one Acadian or Mi’kmaq family remained, that of Paul Labrador, a descendant of Claude Guédry an early 18th century settler. In 1755 nearly 10,000 Acadians were deported from Nova Scotia by the British government because of their refusal to swear allegiance to the British Crown., After the departure of the Acadians, where did the next settlers to speak French in Lunenburg come from?, French , Le vieux cimetière français est l’un des seuls liens qui rappellent encoure à la ville ses antécédents mi’kmaq et acadiens. Les Mi’kmaq appelaient la ville Merligueche, qui veut dire le moutonnement que font les vagues dans la port. Les Français ont continué d’appeler l’emplacement par ce nom aux 17ᵉ et 18ᵉ siècle. Avant l’arrivée des Français, les Mi’kmaq devaient sans doute chasser, pêcher et cueiller les baies de la région. Les excursions de 1604 sur la côte sud de la Nouvelle-Écosse actuelle par des explorateurs français, le sieur de Monts et Samuel de Champlain, mènent à l’établissement de liens commerciaux avec les Mi’kmaq et à un intérêt dans cette terre riche en poisson et en fourrures. En 1632, Isaac de Razilly établit le fort Sainte Marie-de-Grâce à l’embouchure de la rivière LaHave pour le commerce avec les Mi’kmaq. Nicolas Denys commence peu après à exploiter les riches forêts de chêne qui s’étendent entre LaHave et Merligueche. Compte tenu de la lutte que se font la France et L’Angleterre pour conquérir l’Acadie, au 17ᵉ siècle, il n’y a que des tentatives sporadiques en vue de coloniser la région de Merligueche, centre de commerce entre les Français et les Mi’kmaq., Entre 1708 et 1748, la population acadienne de la région passe de deux à quinze familles. Ces Acadiens font la traite de fourrures et de baies avec les Mi’kmaq et pratiquent l’agriculture dans le secteur aujourd’hui appelé «Garden Lots». En 1749, le colonel Edward Cornwallis écrit de Merligueche que les families qui y vivent ont de très comfortables maisons en bois recouvertes d’écorce, de nombreux moutons et têtes de bétail et plus terres défrichées qu’elles en ont besoin. En 1753, il ne reste plus qu’une seul famille parmi les Acadiens et les Mi’kmaq, soit celle de Paul Labrador, descendant de Claude Guédry, colon de début de 18ᵉ siècle. En 1755, près de 10 000 Acadiens son déportés de la Nouvelle-Écosse par le gouvernement britannique à cause de leur refus de prêter le serment d’allégeance à la Couronne britannique., D’où sont venus les primaires colons d’expression française qui se sont établis à Lunenburg après le départ des Acadiens?